À la fin du 18ème siècle, de nombreuses personnes rassemblaient dans la nuit, des bibelots, des objets et des vêtements que les familles plus aisées jetaient parce-qu’elles n’en avaient plus besoin. Toute la collecte était vendue sur un marché dans des petites échoppes, à une époque il faut bien le rappeler, où l’hygiène n’était pas essentielle, pas étonnant que des objets arrivaient avec des puces chez les acheteurs…

Une autre version, également de cette époque, qui dit qu’un homme scruta « d’en haut » un bazar parisien dans lequel étaient vendus des objets anciens et d’occasion, en regardant le mouvement incessant des vendeurs et des acheteurs il dit « cela ressemble à un marché aux puces… »

Il y aurait d’autres histoires, comme quoi le nom des « puces » viendrait de la petite tailles des échoppes, de plus, les objets d’occasion exposés avait pour habitude d’avoir des puces car ils n’étaient pas lavés pour la vente, mais vendus tels-quels.

A cette époque, on était loin d’imaginer que les objets d’occasion exposés, deviendraient des antiquités très prisées ! De nos jours, ce « bazar » parisien dans lequel étaient vendus des objets anciens et d’occasion, est devenu une institution de l’Art et des Antiquités, mondialement connue. Désormais on ne vient pas que de Paris pour y chiner des objets de collection aux Puces de Paris Saint-Ouen.